
J’ai beaucoup à dire sur le Venezuela, sur le fait qu’à l’inverse de Cuba, il n’y a jamais eu un parti communiste à sa tête et que le chavisme n’a jamais eu les dirigeants politiques à la hauteur des espérances populaires, mais ceux issus de la rente pétrolière. Il suffisait de tenter d’y vivre pour le savoir et je dois dire mon respect à ceux qui ont toujours privilégié le fond sur le caractère décevant des jeux politiques comme les communistes ou notre ami Romain Mingus. Ils n’ont jamais failli et je reste à leurs côtés.
Mais aujourd’hui où l’impérialisme veut mettre à genoux toute l’Amérique latine, y faire régner encore plus de corruption, encore plus de mépris du peuple, encore plus de pouvoir pour oligarchie de vendus, l’offrir aux tortionnaires complices…
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